Un premier match encourageant
Ce dimanche 9 avril l’équipe première Ovilloise se déplaçait à Viry-Chatillon pour le premier match aller des phases finales.
Après une victoire face aux Havrais et une semaine d’entraînements sérieuse, les Rouge et Jaune ont fait le plein de confiance pour entamer ce match dans les meilleures conditions possibles.
C’est donc avec une équipe pleine d’envie que le coup d’envoi de cette rencontre est donné à 15h.
Très vite ce sont les Castelvirois qui prennent l’avantage en aplatissant un premier essai dès la septième minutes de jeu. Mais, les Ovillois ne se laissent pas à abattre et répliquent avec un premier essai à la dix-huitième minutes par le talonneur Yannick FAURE, transformé dans la foulé par le numéro 10 Jules PORCHER. Puis, l’infatigable centre, Rudy ALEXIADE, vient inscrire un nouvel essai (27′) donnant ainsi l’avantage à son équipe, 7 à 14. En revanche, les adversaires du jour ne lâchent rien et viennent inscrire un nouvel essai et une pénalité avant la pause reprenant la tête au tableau d’affichage, 17 à 14.
De retour sur le pré, les hommes de la première repartent au combat et mettent rapidement à mal les rugbymen de Viry en aplatissant un troisième essais (42′) par l’intermédiaire du solide troisième ligne Valentin CUOQ.
Malgré la difficulté, les Castelvirois répliquent avec un nouvel essai à la cinquante et unième minutes ramenant les deux équipes au coude à coude, 20 à 21. Physiquement au dessus, les Ovillois repartent à la charge privant les hommes de Viry du ballon et inscrivent un nouvel essai (66′) par l’intermédiaire du centre Paul LOHOURY.
Puis, l’arrière, Antoine HUBERT (oui oui, encore lui), vient crucifier les Castelvirois avec un nouvel essai portant le score à 20 à 35.
À noter la très belle prestation du jeune Jules PORCHER qui a transformé l’ensemble des essais.
Les hommes du ROC-HC prenent un sérieux avantage pour la qualification en seizième de finale. Mais, il reste encore le match retour face à cette solide équipe de Viry-Châtillon le dimanche 16 avril à Robert BARRAN.